En résumé :
- L'amélioration de l'isolation des murs, planchers et combles, le remplacement des cadres de fenêtres, l'installation d'une nouvelle chaudière ou d'une pompe à chaleur jouent un rôle clé pour diminuer les pertes de chaleur et atteindre une meilleure notation énergétique selon le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE).
- Le financement de ces rénovations, incluant les coûts d'un audit énergétique ou d'une évaluation thermique, représente un investissement conséquent.
- Une multitude de soutiens financiers, incluant MaPrimeRénov’, l'éco-Prêt à Taux Zéro, les primes d'économie d'énergie (CEE), une TVA réduite à 5,5 %, le Prêt Avance Rénovation, le chèque énergie et des aides locales, sont disponibles pour couvrir une part significative des dépenses engagées dans ces projets de rénovation globale.
- En 2024, nombre de ces aides ont subi des mutations. MaPrimeRénov’, notamment, a énormément évolué et se divise maintenant en deux parcours : le parcours efficacité axé sur les rénovations monogestes et le parcours performance, axé sur les rénovations multigestes, dites “rénovations d'ampleur”.
- Un soin particulier est donné au choix de l'entreprise qui effectuera les travaux. En effet, pour prétendre à ces aides financières, les rénovations doivent être réalisées par un professionnel certifié RGE (Reconnu Garant de l'Environnement).